Cette page est conçue pour vous donner accès facilement à l’information que vous cherchez et trouver des astuces qui faciliteront votre expérience !

Le compostage : un geste simple pour un avenir plus sain

Saviez-vous que les résidus organiques représentent 40 % de votre poubelle ? Si vous pensez que vos petits gestes ne servent à rien, détrompez-vous ! Utiliser votre bac brun, c’est permettre la transformation des restants de table et les résidus verts en une ressource précieuse pour la nature, mais c’est aussi réduire significativement votre empreinte écologique.

Les résidus organiques sont riches en nutriments essentiels tels que le carbone, l’azote et les minéraux. Lorsqu’ils se décomposent en présence d’oxygène et d’organismes vivants, ces résidus se transforment en un terreau fertile qui peut nourrir les cultures. En utilisant du compost naturel, on diminue le besoin d’engrais chimiques, souvent dérivés de l’industrie pétrolière hautement polluante.

En participant au compost, vous redonnez à la Terre ce qu’elle nous a offert, plutôt que d’enfermer ces précieuses ressources dans des sacs plastiques qui finiront indisponibles et enfouis sous terre.

D’abord, il faut savoir qu’enfouis dans un sac sous terre, les résidus organiques se décomposent sans oxygène. Un des produits de cette décomposition est le méthane, un gaz à effet de serre puissant qui contribue au réchauffement et aux changements climatiques ainsi que tous les effets délétères qu’ils entrainent.

De plus, vous savez probablement qu’avant d’être une décharge d’enfouissement, le site en question est un milieu naturel qui doit être déforesté. En réduisant ce qu’on met dans le bac noir, on réduit le besoin d’enfouir. Donc, on ralentit le remplissage de ces sites et on repousse le besoin d’en créer de nouveaux, toujours plus loin, nécessitant encore plus de transport dépendant de l’industrie de la pétrolière (et oui encore elle !). Cela contribue donc à protéger nos écosystèmes terrestres et aquatiques, nos forêts, l’air qu’elles nous procurent, les animaux qui y résident et ceux que nous chassons, nos rivières et les poissons que nous pêchons.

Participer à la collecte du compost est un geste simple qui se transforme rapidement en une habitude gratifiante. Avec peu d’effort, vous contribuez à la préservation de grandes surfaces naturelles, tout en luttant concrètement contre les changements climatiques.

Alors, pourquoi ne pas essayer ? Engageons-nous pour les générations futures et faisons la différence dès aujourd’hui !

La collecte de matières organiques se fait sur 32 semaines, d’avril à novembre. Les bacs bruns sont ramassés le MARDI à Odanak, aux 2 semaines en avril, puis chaque semaine de mai à fin novembre.

Le calendrier détaillé est disponible avec celui des collectes de recyclage et de déchets.

Bonne nouvelle, vous pouvez utiliser votre bac brun en hiver quand même !

Vous devez simplement assurer une collecte facilitée au printemps en déposant un carton (non laminé, sans agrafes et sans ruban adhésif) au fond de votre bac après la dernière collecte de novembre, et idéalement insérer un grand sac brun (comme pour les feuilles mortes, il y en a de disponibles au bureau de poste chaque automne) dans votre bac afin d’y déposer vos résidus. Ceci facilitera la première collecte en évitant que le tout reste collé au fond du bac.

Vous pouvez donc accumuler vos matières jusqu’aux trois quarts de votre bac pendant l’hiver, celles-ci gèleront, ce qui évitera la décomposition et les odeurs en attendant le printemps (évitez donc de laisser le bac dans un garage chauffé, par exemple). Même en hiver, il est conseillé d’ajouter des couches de papier (journaux ou circulaires, si disponibles) entre les vidanges de votre seau de cuisine.

Pourquoi jusqu’aux trois quarts ?

Les matières organiques sont généralement gorgées de liquide et sont donc lourdes, surtout lorsqu’il n’y a que des résidus de table et que les résidus se compactent pendant plusieurs mois. C’est donc simplement pour s’assurer que votre bac tiendra le coup et que le camion sera en mesure de le vider au printemps.

On fait quoi si notre bac est plein aux trois quarts avant le mois d’avril ?

Voici quelques options :

  • Si vous avez de l’espace, vous pouvez entreposer des sacs de compost dans un congélateur pour couvrir les dernières semaines.
  • Acheter un deuxième bac auprès du conseil au coût d’environ 120 $. Vous pourrez le mettre au chemin au printemps exceptionnellement. Si vous voyez que vous avez besoin d’une collecte de deux bacs chaque semaine, contactez-nous.
  • Si vous avez un terrain et que cela vous intéresse, vous pourriez installer une petite section de compost maison pour les résidus appropriés, tout en réservant le bac brun aux matières qui ne se compostent pas à domicile. Nous pouvons vous aider à ce sujet.
  • Enfin, vous devrez peut-être jeter vos résidus alimentaires à la poubelle pendant quelques semaines. Ne vous inquiétez pas, quelques semaines sans compostage n’annulent pas les gains significatifs de vos efforts tout au long de l’année, rappelez-vous que si vous en êtes rendu là, c’est que vous détournerez 270 L de matières organiques d’un site d’enfouissement, ce qui est épatant !

Pourquoi pas de collecte en hiver ?

La régie de gestion des matières résiduelles qui gère notre collecte n’offre tout simplement pas le service de collecte de compost pendant l’hiver. Pour deux raisons principales :

  • Les résidents amènent leur bac de compost beaucoup moins fréquemment à la rue en raison des conditions hivernales et parce que les odeurs et autres inconvénients (comme les insectes) sont quasiment inexistants à cette période
  • Les cycles de gel et de dégel que nous observons ces dernières années durant l’hiver rendent les collectes souvent inefficaces.

Ainsi, l’impact environnemental de collecter le compost n’est pas suffisamment significatif par rapport à l’impact de faire circuler les camions en hiver.

  1. Installez votre bac brun dans un endroit accessible et à l’ombre si possible.
  2. Installez votre seau pour la cuisine dans un endroit facile d’accès, idéalement au frais (ex. sous l’évier, évitez sur le bord de la fenêtre ensoleillée !).
  3. Consultez le guide fourni avec votre kit de démarrage ainsi que l’autocollant sur le seau afin de bien vous informer sur les matières acceptées et refusées. Consultez les autres sections de la présente page pour tous les trucs et astuces.
  4. Prenez l’habitude de mettre vos résidus dans le seau de cuisine (voir les autres sections pour déterminer si vous utilisez des sacs en papier, du papier journal pour absorber l’humidité, ou vous êtes plutôt zen et y aller en vrac).
  5. Régulièrement, vider votre seau dans votre bac à l’extérieur, dans lequel vous pouvez aussi mettre vos résidus de jardinage.
  6. Chaque semaine, sortez votre bac brun pour qu’il soit collecté (suivez le calendrier, disponible dans la section horaire pour connaitre les détails).
  7. Commencez simplement, et si des embûches se présentent, revenez sur cette page pour voir si une solution à votre problème est présentée. Au besoin, contactez-nous avant d’abandonner !

Pour maximiser la qualité du compost et les efforts de tous, il est essentiel de suivre les indications fournies aux résidents d’Odanak. Toutes les organisations ne fonctionnent pas de la même manière.

🡺 Vous pouvez installer l’application « Ça va où? » de RECYC-QUÉBEC sur votre téléphone intelligent pour vous assister au quotidien dans votre tri des matières.

Dans le bac brun, vous pouvez déposer des matières organiques seulement, c’est-à-dire les substances provenant de la matière vivante. Ces matières sont riches en carbone et se décomposent naturellement grâce aux micro-organismes (bactéries, champignons, etc.).

Si vous hésitez, posez-vous ces questions :

  • Est-ce que cela se mange (ou fait partie de quelque chose qui se mange) ?
  • Est-ce que cela a été vivant ou a été produit par un être vivant ?
  • Est-ce que cela a poussé ?
  • Est-ce une fibre naturelle de bois ou de papier ?

Si vous répondez oui à une ou plusieurs de ces questions, c’est probablement compostable ! Il y a bien sûr quelques exceptions, consultez les listes ci-dessous. En cas de doute, contactez-nous pour vérifier si ça se composte ou non, surtout si c’est un résidu fréquent dans votre quotidien. Si vous êtes en attende d’une validation de notre part, pour une fois, il vaut mieux mettre un article à la poubelle plutôt que de risquer de contaminer le compost.

Matières ACCEPTÉES :

  • Restants de table et aliments périmés (sans emballages) ;
  • Fruits, légumes, leur pelure et leurs noyaux, épis de maïs ;
  • Coquilles d’œuf, de noix et écales d’arachides ;
  • Carapaces de crustacés (crevette, homard, crabe, etc.) ;
  • Pain et pâtes alimentaires ;
  • Viande, volaille, poisson et fruits de mer cuits ou frais, os ;
  • Protéines végétales (tofu, tempeh, protéines végétales transformées) ;
  • Résidus de gras, sauces et huiles à cuisine ;
    ex: Un met qui en contient, des restants de cuisson figés, etc., mais pas la vidange d’une friteuse domestique. Astuces : Videz les fonds de sauces périmées dans l’évier ou la cuvette puis disposez le contenant de manière appropriée. Les grandes quantités d’huile à cuisson peuvent être apportées à l’écocentre.
  • Produits laitiers et substituts ;
  • Café moulu et filtres, sachets de thé, tisane et infusion – retirer les agrafes, s’il y en a ;
  • Friandises, chocolat, tartinade, gâteau, etc. ;
  • Papier et carton neutre (non cirés, non laminés, sans agrafe ni ruban adhésif) ;
    ex: serviette de table en papier, essuie-tout, mouchoir, circulaire, journal, boite de pizza, vaisselle en carton neutre, sac en papier brun, papier parchemin, etc. Astuce : Si le papier ou le carton absorbe le gras de part et d’autre, il est compostable.
  • Bois non traité, non vernis et bois alimentaire (ustensiles, brochettes, cure-dents, bâton de friandise glacée) ;
  • Plantes, herbes, fleurs, aiguilles de conifère, terre noire, écorce, chaume, rognures de gazon, feuilles mortes ;
    Psst ! Tu peux aussi pratiquer l’herbicyclage et le feuillicyclage  c’est encore plus simple !
  • Petites branches (1/2 pouce de circonférence et moins), bran de scie et copeaux de bois incluant le cèdre ;
  • Litières d’animaux domestiques ;
    On sait que tu ne ferais pas pousser tes tomates dans la litière de ton chat, mais sache que c’est bien organique et que ça se composte ! Déposer en vrac dans le bac brun, ou dans un sac en papier.
  • Cheveux, poils et plumes ;
  • Cendres refroidies minimum 72 heures.

Est-ce que tu ferais pousser tes tomates là-dedans ? Non ? Il y a de bonnes chances que ça ne se composte pas !

🡺 Vous pouvez installer l’application « Ça va où? » de RECYC-QUÉBEC sur votre téléphone intelligent pour vous assister au quotidien dans votre tri des matières.

 JAMAIS AU GRAND JAMAIS

  • Le plastique sous toutes ses formes. La vaisselle, les ustensiles, les contenants et les sacs en plastique, même s’ils sont en « cellulose compostable », « biodégradables », « oxo-biodégradable » ou « certifiés BPI ou BNQ » ;
    Peu importe l’adjectif écolo qu’il porte, un item en plastique ou qui a une allure de plastique n’a JAMAIS sa place dans le bac brun. La vaisselle compostable doit avoir une allure de carton pour se retrouver au bac brun. Les seuls sacs compostables acceptés sont ceux en papier. Si tu as besoin de comprendre pourquoi, nous avons fait une section très détaillée sur les sacs ICI Roches, gravier de rue, bûches et souche ;
  • Grosses branches (+ de 1/2 pouce) ;
  • Coquilles de mollusques (huîtres, moules) ;
  • Animal mort entier et résidus de débitage ;
  • Médicaments ;
  • Produits d’hygiène (savon) et sanitaire (couche et serviette hygiénique régulières ou biodégradables) ;
  • Poussière d’aspirateur, charpie de sécheuse, feuille d’assouplissant ;
  • Textiles, chandelles, bouchon de liège ;
  • Papier ciré ;
  • Mégots de cigarettes ;
  • Produits dangereux et toxiques (peinture, huile mécanique, pesticide, etc.) ;
    Ça va à l’écocentre
  • Plantes envahissantes.
    Berce du Caucase, Herbe à poux, Herbe à puce, Myriophylle à épis, Panais sauvage, Phragmite exotique, Renouée du Japon. Placer dans un sac à poubelle BIEN FERMÉ et jeter dans le bac noir.

La réponse est oui, mais seulement en papier. Il n’y a toutefois aucune obligation d’utiliser des sacs, c’est même mieux de ne pas en utiliser et de simplement rincer votre bac de cuisine.

Les grandes lignes sur l’usage ou non de sacs :

  • Le plus simple : mettez les matières acceptées directement dans le bac brun en vrac, SANS SAC.
  • Utiliser ce que vous avez pour envelopper ou faire un fond à votre contenant : circulaires, journaux, sciure de bois, sac en papier brun, carton (non ciré, sans ruban adhésif et/ou agrafes).
  • Évitez tout sac qui ressemble à du plastique, même si c’est marqué compostable.
  • Jamais au grand jamais : sacs en plastique régulier, « biodégradable » ou « oxobiodégradables ».
  • Si vous tenez absolument aux sacs du commerce, ils doivent obligatoirement être en papier, comme ceux de bag-to-earth qui sont résistants aux fuites.

Les détails :

Les sacs en plastique ou qui ont une allure de plastique n’ont malheureusement pas leur place. Quand on parle d’allure de plastique, on parle en fait des sacs en cellulose végétale. Ils sont bien libellés « compostable » et même certifié par le BNQ et le BPI. Cependant, en pratique, ils se dégradent beaucoup plus lentement que les résidus alimentaires qui se trouvent à l’intérieur. De plus, lorsqu’ils sont noués, les résidus à l’intérieur risquent de se décomposer sans oxygène, produisant ainsi du méthane, un gaz à effet de serre important contribuant au réchauffement climatique.

Au centre de compostage, un tri visuel humain ou robotisé est effectué, et ces sacs sont jetés, qu’ils soient vides ou pleins. Ils sont actuellement considérés comme des contaminants pour le compost. La présence de ces sacs dans le compost est un peu contre-productive. En plus d’alourdir la chaine de compostage, ils risquent de produire des gaz indésirables qui sont une des raisons premières pour laquelle on incite les gens à faire du compost.

En revanche, il existe des sacs en papier avec une membrane de cellulose à l’intérieur qui se dégradent apparemment assez bien (certifiés par le BPI et le BNQ) et des sacs « deux plis ». La compagnie BAG-TO-EARTH est à privilégier et se retrouve dans les grandes surfaces et quincailleries. D’autres compagnies produisent des équivalents, mais il faut éviter de sceller les sacs avec la bande adhésive lorsque cette option est offerte.

Sacs avec membrane de cellulose : voir un exemple.

Sacs deux plis : voir un exemple. 

Ces sacs peuvent s’avérer coûteux, alors voici quelques alternatives à moindre coût :

Dans votre seau de cuisine :

  • Si vous en avez sous la main, emballez les résidus avec du papier circulaire ou journal, surtout les viandes, volailles, poissons et les résidus très humides, OU faites un fond de circulaire dans le seau de cuisine, puis alternez des couches de résidus et de circulaires.
  • Utilisez des sacs en papier brun mince (type « sac à sandwich ») ou encore les sacs bruns d’emballage pour les repas à emporter, les sacs d’épicerie en papier. Assurez-vous simplement de retirer les agrafes.

Dans le bac brun extérieur :

  • Après les collectes, déposez un grand sac en papier brun 110 L  (les mêmes que pour les feuilles mortes) afin d’y mettre les résidus acceptés. Vous pouvez également placer du carton vierge dans le fond du bac brun (carton non ciré, non laminé, sans agrafes ni ruban adhésif).

Ces inconvénients peuvent être évités avec quelques trucs simples, surtout par temps très chaud :

  • Gardez votre bac à l’ombre ;
  • Placez un carton au fond de votre bac brun et placez du papier journal ou autre papier brun résiduel entre vos dépôts de résidus alimentaires ;
  • Vous pouvez faire une papillote de papier autour des résidus plus odorants ou humides ;
  • Rincez régulièrement vos bacs avec de l’eau et du vinaigre ;
  • Évitez les surplus de liquide ;
  • Saupoudrez du bicarbonate de soude ou de la chaux de temps à autre dans votre bac ;
  • Gardez le couvercle fermé ;
  • Placez votre bac à la rue à chaque collecte, même s’il n’est pas plein ;
  • Transvidez régulièrement votre bac de cuisine dans le bac à l’extérieur ;
  • Si vous avez de l’espace, il est toujours possible de garder certains résidus au froid ou au congélateur et de les déposer la veille de la collecte dans le bac.

Si vous avez déjà des vers dans votre bac, utilisez du gros sel et du vinaigre pour les éliminer. Rincez bien votre bac par la suite.

Cette question s’applique généralement aux matières en papier et carton. Effectivement, une boite d’œuf ou un papier brun est recyclable ET compostable.

Alors, la réponse ?

Ça dépend si la matière est souillée ou non. Si la matière est propre, on la met au recyclage. Si la matière est souillée (traces de gras, résidus alimentaires dessus, etc.), on la place au compost. 

 

Le compost collecté à Odanak est envoyé à la plateforme de compostage Gaudreault à Saint-Rosaire. C’est un compostage de type « en andains » retourné mécaniquement sur aire ouverte. Le fait de retourner les matières organiques pendant leur décomposition implique la présence d’oxygène dans le processus, une différence majeure avec l’enfouissement, où les matières se décomposent sans oxygène. Cette différence est importante parce que la présence d’oxygène évite de générer des gaz à effet de serre néfastes comme le méthane. Une fois décomposées, les matières organiques se transforment en compost qui servira à alimenter les sols.

Il n’est pas possible de retourner un bac. Le compostage est une responsabilité sociale pour les futures générations. Composter est une saine gestion des matières résiduelle au même titre que l’utilisation du bac bleu pour le recyclage et du bac noir pour les déchets ultimes. Pour vous initier au compost, commencez tranquillement par des matières simples et intuitives comme les résidus de jardins. Dans la cuisine, commencer par des aliments qui n’ont pas de fortes odeurs ou d’odeurs sucrées (épluchures et retailles de légumes). Puis introduisez graduellement des matières au fur et à mesure que vous vous familiarisez avec les matières acceptées. Positionnez votre seau et votre bac pour avoir un accès facile. Changer une habitude peut prendre du temps, ne vous mettez pas trop de pression et commencer graduellement. Chaque petit effort compte 🙂

Nous contacter, vous pouvez obtenir un deuxième bac roulant pour environ 120 $.

Vous pouvez le recoller, le fixer avec un velcro, ou vous procurer un nouveau filtre gratuitement en nous contactant. Il est aussi possible d’avoir un couvercle sans trou et sans filtre.

Essayez de laisser les rognures de gazon sur votre pelouse. Cette technique réduit le travail à faire et fournit de nombreux éléments nutritifs à votre pelouse. Il est également possible de tondre les feuilles mortes à l’automne !

Pour que ces pratiques fonctionnent bien, il est recommandé d’avoir une lame déchiqueteuse sur la tondeuse, et de passer régulièrement : éviter d’avoir un gazon excessivement long et passer sur les feuilles mortes dès qu’il y en a suffisamment pour que ce soit pertinent. Une trop grosse épaisseur de feuilles mortes (surtout mouillées et compactée) nuira au déchiquetage.

Au final, c’est beaucoup moins de travail !

Bonne nouvelle, vous savez déjà composter !

La collecte dans le bac brun est complémentaire au compostage domestique. Certains résidus sont à éviter dans un compost domestique (viandes, volailles, rhubarbe, etc.), mais ceux-ci peuvent aller au bac brun. Il se peut aussi que vous ayez parfois trop de résidus de jardinage pour votre compost domestique, vous pouvez donc les mettre dans le bac brun.

Vous pouvez appliquer un peu d’onguent contre la toux autour de votre bac ou sur les trous d’aération.